“She is playing Scottish smallpipes to a huge pop audience with Caroline Polachek but her own music has darker roots.” (The Guardian)
"Arresting, hypnotic compositions...with dissonance often stuttering next to moments of deep beauty. Both of its time and out of time", écrit The Guardian à propos du son de Brìghde Chaimbeul (prononcez : Breetch-er Hime-bowl).
Les débuts de l’artiste écossaise ont été un coup dans le mille. En 2019, The Reeling s’est retrouvé dans les classements de fin d’année du blog influent The Quietus (#13) et du prestigieux Guardian (#7 des meilleurs albums folk, aux côtés de Lankum, ØXN et Shirley Collins).
Caroline Polachek a elle aussi succombé à cet univers : « J’ai un faible pour la cornemuse : dès que j’en entends, je pleure. J’ai écouté The Reeling en boucle – et versé beaucoup de larmes. » Cette admiration a même donné lieu à une véritable collaboration.
L’AB a accueilli Brìghde à bras ouverts, que ce soit dans le cadre de notre festival d’été Feeërieën (2023), du festival en salle BRDCST (2024) ou cet automne à l’AB Club, à l’occasion de la sortie de son troisième album Sunwise prévu ce printemps, avec une nouvelle apparition de Colin Stetson en invité.
Son inspiration ? “My music is rooted in dark Highlands folklore, including seductive men who transform into creatures that drown women and humans desperate to communicate with birds.” Wat haar zo uniek maakt? “She has developed an innovative style on the Scottish smallpipes that emphasises rich textural drones and a trance-like constancy of sound.”
Welcome back, Brìghde !