Du post-hardcore intense dans un écrin catchy
“These songs gleam like freshly polished diamonds.” (Kerrang)
“Intimate, intense, and moving… One of the essential, must-have albums of 2012.” (Absolute Punk)
Au même titre que des groupes comme Touché Amoré, La Dispute, Title Fight ou Such Gold, Make Do And Mend est arrivé illico au sommet de l'échelle post-hardcore/punk. Avec ‘Everything You Ever Loved’, ces quatre lascars du Massachusetts ont réalisé, sous la houlette du producteur Matt Bayles (Minus The Bear, Mastodon), un très bon deuxième album, leur premier pour Rise Records (Hot Water Music, Sleeping With Sirens, Of Mice And Men).
À la manière de Jimmy Eat world, Foo Fighters, The Gaslight Anthem ou Hot Water Music (avec lequel ils étaient au Klinker d'Aarschot en 2011), ils mêlent une voix intense et déchirante (le chanteur et guitariste James Caroll) à des guitares mélodieuses et frénétiques. Le résultat est un LP mature, bourré de chansons accrocheuses et authentiques respectant une structure traditionnelle. Dans le genre, leur son à la fois épuré et complexe éclipse sans problème la concurrence.
Trimbalé par Hot Water Music, Title Fight et Every Time I Die, Make Do And Mend est passé trois fois en Belgique au cours des deux dernières années, avec un concert remarqué au Groezrock ’12. Au printemps 2013, ils seront en Europe en tête d'affiche de leur propre tournée et ils s’apprêtent à embraser l'AB Club avec leur «heartcore » !
Début 2012, les Britanniques d'Apologies, I Have None abattaient le mur entre punk et post-hardcore avec ‘London’, leur premier opus paru en autoproduction. Un chant écorché, des paroles d'une rare l'intelligence émotionnelle et super catchy que l'on reprend volontiers en chœur et une énergie punk rafraîchissante ! Ces quatre Londoniens n'ont pas besoin de plus pour vous saisir à la gorge et ne plus jamais vous lâcher. Pour les fans de Title Fight.
Nous entamerons la soirée avec Daylight, un groupe originaire de Pennsylvanie qui a livré, début 2012, un premier EP parfait avec ‘The Difference In Good And Bad Dreams’ . À ne pas confondre avec le groupe pop punk espagnol du même nom ! La version américaine de Daylight est plus rêche, plus authentique et plus saisissante. À découvrir !