Que peut-on encore dire de Wovenhand après tant d’années et de performances aussi magnifiques et mystiques que déchirantes ? A l’époque de 16 Horsepower, le leader David Eugene Edwards avait déjà su nous enthousiasmer à plusieurs reprises à l'AB. Avec Wovenhand, il a placé la barre au moins – et on insiste bien sur le « au moins » - aussi haut. À l'issue de chaque show, nous nous répandons systématiquement en superlatifs.

Wovenhand en est aujourd'hui à son septième opus qui porte le nom – à faire fourcher la langue – de « Refractory Obdurate » et qui verra le jour fin avril. On a eu l'occasion d'écouter l'album en avant-première et c'est à nouveau un brillant et singulier patchwork de neo-folk, de post rock, de punk et d'alt. country. Par précaution, préparez votre lot de superlatifs. David Eugene Edwards les acceptera avec plaisir.

« Magistral ! »
(Focus Knack)
« Magnifique dans l'éveil de tempêtes soniques, encore plus beau dans la création d'une tension menaçante et sous-jacente et magistral dans la fusion des deux. »
(Humo)
On ne pouvait rêver meilleure combinaison pour le concert de Wovenhand. Les critiques de « City Same City », le dernier album de notre fierté nationale Flying Horseman, étaient unanimement enthousiastes. Une arrivée tardive vous vaudra des points de pénalité. Et même David Eugene Edwards vérifiera votre présence.

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