Dans le cadre de
VIP Boterhammen In Het Park & Feeërieën 2025
Selectress & black metal enthusiast
Soundtrack by … les dj de service pour assurer l’ambiance musicale en soirée. Tantôt planante, pour un bain sonore ambient ou en mode drone (dark) ambient, parfois extrêmement forte et rythmée pour danser et se défouler. Mais toujours avec des dj qui maîtrisent l’art de faire vibrer.
Monstera Occulta (BE) officie le jeudi soir. Elle se qualifie elle-même de selectress, de SWANA-music lover (à vous de googliser !), de black metal enthusiast (nous aussi !) et de vinyljunkie (nous aussi !).
L’année dernière, elle a fait un véritable hattrick à l’AB, avec d’excellents sets pendant Feeërieën (en soirée, avec Lord Spikeheart et Mohammad Syfkhan), ainsi qu’à l’AB Club, lors de A Turkish Psychedelica Night, juste après le passage d’Altın Gün. Il suffit de visionner ses mixtapes sur SoundCloud pour être immédiatement fan, comme nous ! Inutile de dire que la (dark) soundtrack de cette soirée est entre de bonnes mains.
Un poulain de Bongo Joe (avec des membres d’Altın Gün et de Jungle By Night) instille un souffle nouveau à la musique indonésienne traditionnelle avec du rock psychédélique
Le label suisse Bongo Joe a toujours occupé une place spéciale dans notre petit cœur qui bat au rythme de la musique. En témoignent « ses » très nombreux artistes qui se sont produits à l’AB : Altın Gün, Baby Berserk, Chouk Bwa, Meridian Brothers, Meril Wubslin, Pixvae et Societé Etrangé, entre autres.
Ce printemps, nous avons même fêté le dixième anniversaire du label pendant deux jours d’affilée en ouvrant les portes de l’AB à quelques-uns de ses meilleurs talents (Gaye Su Akyol-offshoot) Lalalar, mais aussi Cyril Cyril et The Mauskovic Dance Band. Et lors des Feeërieën, on a aussi pu voir Nyati Mayi & Astral Synth Transmitters et Derya Yıldırım & Grup Şimşek.
« Afro-futuristic Congolese punk collective rooted in rumba music but influenced by the experimental, EDM-inspired Nyege Nyege Tapes scene. » (Pitchfork)
Le collectif congolais Fulu Miziki (RDC) n’a peut-être « que » deux EP à son actif (Ngbaka sorti en 2022 et Mokano, en 2024), mais ses concerts-spectacles ont très rapidement assis sa réputation. Ce n’est donc pas un hasard si Gilles Peterson a convié cette année les musiciens de Kinshasa à son prestigieux festival We Out Here, aux côtés de Michael Kiwanuka, Kokoroko et Noname – que du beau monde !
Si Fulu Miziki a déjà conquis le public de Couleur Café, le très influent Pitchfork a quant à lui été séduit par ses sonorités « rooted in the celebratory rumba music of their hometown but influenced by the experimental, EDM-inspired Nyege Nyege Tapes scene thriving in Uganda. »
Pour The Quietus, Fulu Miziki ouvre une nouvelle page de la riche histoire musicale de Kinshasa, à mi-chemin entre des groupes de performance art, comme Ndaku Ya La Vie Est Belle et le collectif de techno punk KOKOKO!, mais est définitivement « one of the most intriguing of all these projects. »