Il aura fallu trois ans à son premier album très apprécié ‘The Pirate’s Gospel’ pour atterrir dans nos contrées et y trouver l’accueil qu’il mérite, mais depuis son décollage, plus rien ne peut gâcher le succès de la chanteuse-compositrice folk Alela Diane. Elle a joué à guichets fermés dans notre salle à deux reprises (en 2008 et en 2009), elle a ensuite sorti l'album ‘To Be Still’ avec beaucoup de succès et participé au projet des deux producteurs new-yorkais Headless Heroes en chantant notamment des reprises de Nick Cave, Daniel Johnston et The Jesus & Mary Chain. Depuis lors, on n’a plus vraiment entendu parler d’elle mais elle n’est pas restée moins active pour autant. Alela a déménagé de Nevada City, sa ville natale (voir aussi : Joanna Newson, Mariee Sioux, Alina Hardin), pour Portland Oregon. Elle a sorti un 10 pouces avec sa copine Alina Hardin, on a pu l’entendre sur un morceau de Blitzentrapper et elle a changé son « nom de groupe » en Alela Diane & Wild Divine (qui accueille désormais aussi son mari chéri aux côtés de son papa chéri). Au début de 2011 paraîtra son nouvel album, le troisième, qui, d’après Alela, « is a bit of a jaunt down a new path. It’s the sound of me with a band – and is the first album I’ve made with the direction of a producer. » Après ses passages enchanteurs antérieurs à l’AB, vous n’avez certainement pas envie de manquer celui-ci.
La première partie est le jeune auteur/chanteur américain Dylan Leblanc qui débuta cette année avec ‘Paupers Field’ (via Rough Trade). "Une des plus grandes suprises de cette année" selon Kindamuzik.
If Time Was For Wasting
Dylan LeBlanc | Myspace Music Videos