Post-punk bruxellois au charme italien
Fraîchement atterri sur la scène bruxelloise, Ada Oda balance un rock binaire up-tempo qui évoque tant l'aplomb post-punk que les envolées mélodiques dont la variété italienne a le secret. Le projet a été initié en 2020 par César Laloux (The Tellers, BRNS, Italian Boyfriend). A l'origine, l'idée était d'y ajouter une voix qui chanterait en Néerlandais,. Le premier confinement en décidera autrement car César rencontre Victoria Barracato qui assurera le chant, mais en Italien.
Sur base de maquettes au dépouillement assumé (boîte à rythmes, guitare et mélodie), César décrit sa vision de l’amour et des gens qui l'entourent. Ses textes sont d’abord traduits en italien et ensuite adaptés par Victoria, fille d’immigré sicilien.
Sur scène et en studio, le duo s’entoure de Clément Marion à la basse (David Numwami, Judith Kiddo), Alex De Bueger (Alaska Gold Rush, Gros Coeur) à la batterie et Aurélien Gainetdinoff (San Malo, Yolande Bashing) à la guitare. Une première tournée des clubs belges où Ada Oda ouvre des groupes comme Wet Leg ou The Cool Green House et grâce à Niente Da Offrire, un premier single-video largement relayé, le groupe se tisse une jolie toile internationale et s’apprête à conquérir le reste de l’Europe en 2023. Préparez-vous à leur concert à l’ABClub en écoutant leur premier LP Un Amore Debole.
© Daria Miasoedova