Les quatre jeunes gaillards de The Morning Benders se sont rencontrés à Berkeley, en Californie. Leur premier album, ‘Talking Through Tin Cans’ , est sorti en 2008 et a été immédiatement bombardé meilleur album indie par iTunes, cette année-là. Avec son mélange ensoleillé de pop baroque sixties et de néo-psychédélisme teinté d'indie rock à la Pavement, le groupe s'est rapidement hissé en première partie de groupes comme Grizzly Bear et MGMT. Leur second album ‘Big Echo’ est paru en juin sur le célèbre label Rough Trade. Quelques jours plus tard, à Rock Werchter, dans un Marquee littéralement au bord de l'ébullition, ils ont livré “un beau concert d'un groupe d'avenir” (HUMO).
Pour clore l'été, le concert de The Morning Benders, prévu le 28 septembre à l'ABClub, s'annonce comme une double affiche gorgée de soleil.
Avec son premier single ‘Let’s Not Fall Apart’, Broken Glass Heroes – le projet de Tim Vanhamel et Pascal Deweze – tient là un sacré tube radio. Le 20 septembre, le duo exhibera son ‘Grandchildren Of The Revolution’, un album étonnamment rafraîchissant sur lequel quelque 14 titres énergiques, sexy et baignés de mélancolie forment un tout indubitablement décontracté.
Sollicités pour composer la musique de la série 'Benidorm Bastards', devenue depuis extrêmement populaire, nos deux hommes ont rapidement déboulé avec le très Brian Wilsonesque ‘Let’s Not Fall Apart’ en guise de thème musical. A la demande des réalisateurs, le duo est également allé puiser son inspiration dans les sixties et les seventies pour le reste de la bande-son et des jingles de la série. En plus de Pascal Deweze et Tim Vanhamel, les crédits de l'album mentionnent le vétéran Marc Bonne à la batterie (replongez-vous dans votre discographie belge, pour voir), Sjoerd Bruil (Sukilove, Tim Vanhamel Band) à la guitare et Hans De Prins (General Mindy) aux claviers. Des musiciens qui allaient, de toute évidence, constituer le line-up scénique de Broken Glass Heroes.
The Morning Benders - "All Day Day Light" from Jack Ferry on Vimeo.