Pensez: James Blake, The xx ou, plus près de la maison, à Vuurwerk
‘Swirling synths and somnolent beats… [Portico] make winning transition to electronica trio.’
(Mojo - ★★★★)
‘Deep, complex instrumentation and pristine electronics… a bold and wholly successful reinvention’
(The Times - ★★★★)
“Portico Quartet sound like nothing you ever heard before”
(The Guardian)
En plus d'être de véritables icônes de notre époque, les noms de Radiohead, Burial, Sigur Rós et Flying Lotus sont aussi ceux qu'on évoque lorsqu'on tente de définir le singulier Portico (anciennement Portico Quartet). Dès la sortie de son premier album (07), Portico s'est offert une nomination au prestigieux Mercury Prize avant d'être rapidement repris sur le fameux label Real World de Peter Gabriel.
Ils appartiennent, aux côtés de BadBadNotGood, Gogo Penguin - et aussi de nos compatriotes de Stuff. ! – à cette avant-garde du jazz expérimental qui ne cesse de se réinventer. Leur dernier-né, « Living Fields », est annoncé pour début 2015 sur le très en vue Ninja Tune. On les y retrouve en bonne compagnie de Jamie Woon et de Joe Newman, membre de Alt-J. Si le jazz leur sert toujours de point de départ, ils s'en vont de plus en plus chercher leur inspiration dans l'électronica, l'ambient, le classique ou la dance. De quoi donner du fil à retordre à la police du jazz.