‘The most interesting jazz singer to appear in years.’ – The Telegraph
Il y a 100 ans, le monde découvrit le tout premier album de jazz : « Livery Stable Blues » de The Original Dixieland Jass Band. L’AB saisit l’occasion pour braquer pendant un an ses projecteurs sur ce genre musical. Des classiques contemporains aux dissidents musicaux inspirés par le jazz, sans oublier la jeune génération belge au jazz bien trempé.
QUOI ?
C’est avec le titre « All Africa » de Max Roach, paru sur l’album « We Insist! » (1960), que le jazz d’avant-garde a été perçu pour la première fois comme une force de protestation importante. Zara McFarlane a repris le morceau - une reprise sortie cette année sur le label Brownswood de Gilles Peterson - en guise de prélude à son troisième opus « Arise », dans lequel la chanteuse approfondit ses racines jamaïcaines : « It came out of the idea of black history and blackness and feeling like you’re trying to be yourself; trying to be proud of who you are. And never forgetting the things that brought you to where you are. »
Pour ce troisième album, elle peut compter sur quelques pointures de la scène jazz londonienne : Binker Golding au sax ténor, Peter Ewards au piano, Shirley Tetteh à la guitare, Nathaniel Cross au trombone, une performance exclusive de Shabaka Hutchings à la clarinette et le bien-aimé Moses Boyd à la batterie et aux manettes du producteur. « Arise » reflète bien toute la diversité musicale qui construit ce groupe.
POUR LES FANS DE
Moses Boyd Exodus, Shabaka Hutchings, Abbey Lincoln, Jill Scott, Nina Simone…
Côté presse
« The young British vocalist took to the stage with confidence in an imaginative set highlighting her skills from scat to folk. » – **** The Guardian