On doit à ce folkeux d'avoir exhumé, avec Wilco, quelques magnifiques chansons méconnues de Woodie Guthrie.
C'est l'homme qui a composé des perles comme 'Valentine’s Day', 'The Man In The Iron Mask', 'Levi Stubbs’ Tears' ou encore 'Swallow My Pride' (l'ensemble de son œuvre vaut d'ailleurs le détour, vous ne le regretterez pas !).
Ce chantre de la contestation sociale sait aussi écrire des chansons d'amour comme personne et compte parmi les meilleurs compositeurs anglais d'après-guerre (après Morissey et Joe Strummer bien évidemment !).
Le quinquagénaire a également sorti l'un des meilleurs disques de 2013.
Comme vous l’aurez constaté, il est difficile de dresser le portrait de Billy Bragg en quelques lignes. Ce qui est certain, c’est que cet artiste d’une grande classe est incontournable.
Le 4 novembre, il sera de retour à l'AB, après 9 ans d'absence, pour y présenter son nouvel album et très certainement nous interpréter quelques-uns des grands classiques de ses trente ans de carrière.
Si vous avez toujours voulu lui demander quelle est l'utilité de mêler pop et politique (‘Waiting for the great leap forwards’), quelle est la vraie signification de ‘I’m more impressionable when my cement is wet’ (‘Greetings to the new brunette’) ou comment il parvient à rester actuel au bout de près de trois décennies, alors rendez-vous à Huis23 le 4 novembre à 18h pour assister à l'interview de Billy Bragg par Michaël Robberechts, chroniqueur radio pour Radio1, grand connaisseur musical, fan de Bragg, et l'une des plus belles voix de l'audiovisuel public.
Une session de questions & réponses succédera à l'interview.