Cette voix passionnée s'impose enfin avec ses chansons baignées de soul.
Le Britannique Fin Greenall, alias Fink, est né à Bristol. Après avoir roulé sa bosse pendant pas mal d’années (son dernier album en date, ‘Perfect Darkness’, est déjà le quatrième), notre homme semble pouvoir enfin compter sur la reconnaissance qu’il était en droit d’attendre de la part du grand public. A l'évocation de son nom, il faut bien avouer que, jusqu'à présent, on avait droit soit aux froncements de sourcils, soit aux éloges en provenance d'artistes comme John Legend. En tant que compositeur, Fink a d'ailleurs déjà collaboré avec Legend mais aussi Professor Green et Amy Winehouse. Son actuelle percée doit d'ailleurs beaucoup à ses brillantes compositions.
L'AB soutient le bonhomme depuis ses débuts. Il y a plus de 10 ans, il avait déjà participé à une soirée Ninja Tune (le singer-songwriter a, de fait, été signé par le label électronica d'avant-garde). Il a, par la suite, assuré la première partie d'Arsenal et, plus tard, il a encore partagé la scène avec Justin Nozuka. Il est aussi passé à l’AB, cette année, pour l'enregistrement d'une magnifique ABsession acoustique de ‘Perfect Darkness’ et ‘Trouble’. Cette fois, nous l'accueillons avec un nouvel album sous le bras.
« Fink: monocorde, rugueux et pénétrant. » 4/5 (De Standaard)
« Voilà l’album que David Sylvian aurait dû faire. » (Le Soir)
« Fink déploie une envie féroce de vraie musique sans artifices superflus. » (Rif Raf)
‘An updated version of Nick Drake.’ (Agenda)
Nous entamerons la soirée avec le singer-songwriter irlandais Emmett Tinley. Damien Rice meets Jeff Buckley meets Arid : c'est en résumé ce à quoi on peut s'attendre avec le concert du bonhomme. Des petites chansons d'allure fragile, de très beaux textes, une voix affûtée, des arrangements subtils et des mélodies d'une beauté terrifiante.
« Les chansons sont toutes d'authentiques petites perles mélodiques qui sonnent magnifiquement bien grâce à la splendide voix de Tinley. » (OOR)
« L'être le plus malchanceux de la pop nous livre un disque émouvant de beauté. » (De Morgen)