The Streets et Roots Manuva au féminin.
« Une révélation. » (Focus Knack)
La Londonienne Kate Tempest se situe à la croisée du rap, de la poésie et du spoken word. 2013 fut pour elle l'année de la révélation dans les cercles littéraires avec le gain du prestigieux prix Ted Hughes, une récompense qui consacre « the newest and most innovative work in poetry ».
Son dernier album en date, « Everybody Down », pourrait bien être celui de la consécration. Scroobius Pip et Saul Williams l'ont déjà emmenée en tournée et Chuck D, le leader de Public Enemy, n'a trouvé d'autre mot que « Wow! » à l'écoute de son style. Voyez en elle la version musicale de Laura Dockrill (la meilleure amie d'Adele) ou la version féminine de Roots Manuva et de Mike Skinner de The Streets. Ajoutez à cela une truculente pointe de dialecte londonien et vous saurez exactement à quel point la musique de Kate Tempest peut être grisante.