Le phénomène du beatbox renoue avec ses racines reggae et dub
En 2006, l’Australien Benjamin Stanford a mis le cap sur l’Europe pour y pratiquer son art au coin des rues. Armé d’une loop station et de sa voix, il signe des performances stupéfiantes qui ont été filmées un peu partout et partagées sur les réseaux sociaux, le propulsant ainsi en un temps record au rang de phénomène du beatbox.
Dub FX navigue sans peine entre reggae, hip-hop, samba, drum’n’bass et dubstep. Son dernier album « Thinking Clear » marque un retour aux sources avec un son dub et reggae plus brut que d’habitude.