Le 26 janvier 2020 aura lieu la quatrième édition de notre événement consacré à la scène underground. Subbacultcha et l’Ancienne Belgique présenteront neuf formations nationales qui accordent plus d’importance à la liberté artistique qu’à la taille de leur public.
Vous trouvez plus d'info ICI!
Maintenant en bref : quelques artistes underground!
OLD PAINLESS
Interview by Jacob McPherson
Photos by Elies Van Renterghem, shot in Brussels
« Jusqu’à il y a peu, je faisais mes découvertes musicales dans le bâtiment où ma musique était produite. Aujourd’hui, on n’y organise malheureusement plus de concerts. Mais ce lieu a fait naître une communauté intéressante, qui m’inspire beaucoup. Un endroit un peu moins ‘sous le radar’ que je fréquente assidûment, c’est le Magasin 4 à Bruxelles. »
Benjamin Abel Meirhaeghe
Interview by Simon Baetens
Photo by Tiny Geeroms, shot in Brussels
« J’ai un peu de mal avec le terme ‘underground’, car notre musique est plutôt superficielle. Nous flirtons autant avec l’art ‘populaire’ qu’avec l’art ‘savant’, et surtout, nous faisons fi des conventions musicales. C’est ce qui nous permet de creuser sous la surface de notre propre musique. »
Grid Ravage (Yves De Mey trio)
Interview by Dries Robbe
Photo by Tatjana Henderieckx, shot in Antwerp
« Quand j’écoute la musique d’amis que j’ai masterisée ces derniers mois, je conclus que l’underground belge se porte extrêmement bien. Des artistes comme Milan W., SKY H1, Mika Oki, Sagat, Hiele… me font chaud au cœur. Ils créent vraiment des merveilles. Nous n’avons rien à envier à d’autres pays, bien au contraire ! »
Rogergoon
Interview by Jacob McPherson
Photos by Elena Majecki, shot in Brussels
« Si on considère le Web comme un ‘lieu’, alors c’est absolument le premier endroit qui me vient à l’esprit pour découvrir de la musique. Mais si je dois citer un espace plus physique, je dirais que mon école, les personnes qui y enseignent et mes amis me donnent accès à un tas de musique. Parmi mes endroits préférés à Bruxelles, il y a Décor Atelier, la Brasserie Atlas et le Beursschouwburg. »
