La protégée de Prince s’érige en superstar
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Avec son troisième opus « Dirty Computer », Janelle Monáe signe un chef-d’œuvre de liberté personnelle, musicale, sexuelle et politique. Contrairement à ses albums précédents, elle met en lumière son côté profondément humain, en quête permanente, et s’offre en exemple aux autres esprits errants de cette terre.
« Django Jane », premier single de l’album, se veut ainsi un cri de guerre, un chant de révolte pour les femmes, et notamment les femmes afro-américaines. Cet engagement féministe, on le retrouve sur « Pynk », auquel la Canadienne Grimes a prêté ses vocalises. Le titre s’accompagne d’ailleurs d’une superbe vidéo, où des femmes vêtues de « pussy pants » exécutent une danse des vagins.
Les nouveaux titres sont nettement marqués par l’influence de Prince : les vibes funky et les rythmes groovy du mentor se glissent dans la musique de Janelle à la faveur d’une esthétique futuriste.
Bref : avec son excellente réputation scénique, son sens aigu du style et ses textes affûtés, Janelle Monáe est indéniablement la sensation pop du moment.
Pour les fans de Solange, St. Vincent, Lianne La Havas, Kelis, Erykah Badu, Lauryn Hill, Beyoncé, Esperanza Spalding, Prince, SZA
Côté presse « Janelle Monáe nous livre un message fier et puissant. » **** De Standaard à propos de « Dirty Computer »
« Janelle Monáe serre le poing. Pour elle-même. Pour ses sœurs opprimées. Pour les Afro-Américains. Pour la communauté LGBTQ. » De Morgen
« Janelle, c’est Whitney Houston et Alicia Keys 2.0, la seule finalement à pouvoir faire vaciller le trône de Queen B. » Le Soir
« This album is one of the greatest artists of our time carrying Prince’s baton into the new world. » ***** NME à propos de « Dirty Computer »
« Janelle Monae’s ‘Dirty Computer’ is a Liberated Futurist Funk Masterpiece » **** ½ Rolling Stone à propos de « Dirty Computer »