BRUSSELS JAZZ MARATHON
Les vendredi 29 et samedi 30 mai, Bruxelles sera à nouveau l’épicentre du jazz, en Belgique. A cette date, le Brussels Jazz Marathon parcourra la capitale avec un programme à ne manquer sous aucun prétexte. Ce festival s’inscrit comme le rendez-vous annuel des amateurs d'ambiance. Plus de 125 concerts, soit un total de quelque 450 musiciens, mettront la ville en ébullition ! Aux scènes en plein air situées sur la Grand Place, au Sablon, sur la Place Sainte-Catherine et la Place Fernand Cocq, s’ajoute tout un circuit indoor constitué de nombreux clubs et cafés dont l'AB fait bien évidemment partie. A découvrir – gratuitement ! – dans le cadre de la troisième soirée RAT RECORDS à l'AB: The Black Napkins et Yul.
RAT RECORDS # 3 feat. THE BLACK NAPKINS + YUL
L’AB et RAT RECORDS, le label fondé par le talentueux batteur de jazz Teun Verbruggen et le saxophoniste Bruno Vansina, se sont déjà associés, au cours de la saison dernière, pour présenter deux soirées consacrées à RAT RECORDS, à l’ABClub. Teun Verbruggen est un habitué de l’AB. On l’y a encore vu, l’an passé, aux côtés de son habituel Jef Neve Trio et de José James. En plus d’avoir assuré la première partie de Fantômas avec Flat Earth Society, il avait encore, auparavant, partagé la scène de l’AB avec Mike Patton et John Zorn au sein de son projet Othin Spake. Pour ce RAT RECORDS EVENT # 3, nous accueillerons The Black Napkins et Yul.
THE BLACK NAPKINS
Ce trio hollandais fera bientôt son entrée sur le label Rat Records (comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement ?). The Black Napkins tire son nom d'un morceau de Frank Zappa et appartient à la nouvelle génération hollandaise de musiciens férus d'improvisation. ZXZW a dit de son style: « Ce n'est pas du jazz-jazz. Ce n'est pas de l'impro-impro. Ce n'est pas non plus un groupe pop qui aurait des prétentions ‘arty’. » On en prend bonne note.
Line-up:
Sanne van Hek: trompette
Jasper Stadhouders: guitare
Gerri Jäger: batterie
YUL
Le trio Yul se caractérise par le son lyrique du saxophone d'Erwin Vann et la basse mélodique de Michel Mergaerts, tandis que le batteur Pierre Tanguay, figure de proue de la scène impro québécoise, y ajoute la tension nécessaire.