Hypnotique et mélancolique, Fin Greenall, alias Fink, nous tient en haleine depuis quatorze ans et six albums.
AprĂšs un premier disque aux accents Ă©lectro, âFresh Produceâ (2000), câest une voie radicalement diffĂ©rente quâil emprunte pour rĂ©aliser âBiscuit For Breakfastâ (2006) et âDistance and Timeâ (2007) auxquels il offre une colonne vertĂ©brale blues et folk. EntourĂ© Ă la perfection par deux amis dâenfance : Guy Whittaker Ă la basse et Tim Thornton Ă la batterie. Câest alors que le titre âThis is the Thingâ Ă©merge et braque tous les regards avertis sur son travail. Il se rĂ©vĂšle ainsi petit Ă petit au grand jour. Cette nouvelle notoriĂ©tĂ© rĂ©vĂšle un talent prĂ©cieux dâauteur, compositeur et lui permet de travailler notamment avec Bonobo, John Legend, Professor Green ou encore Amy Winehouse. Sortiront ensuite de sa plume âSort of Revolutionâ (2009) et surtout âPerfect Darknessâ (2011).